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8 avril 2002

 

José Garcia joue au jeu de la vérité !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




De notre correspondant Julien

Souffre-douleur sur les écrans et jet-setteur à la ville, José Garcia cache une personnalité plutôt rusée sous ses faux airs séfarades. Son ascension vertigineuse dans le show-bizz ne serait pas due qu'à ses talents d'acteur...

 

Celui qui incarne parfaitement Serge Benamou roule avec un compteur de 27 films sur  quatorze ans ! Le dernier en date est « Le Boulet » avec Gérard Lanvin et Benoît Poelvorde. Un bon rythme de croisière pour le milieu. 

 

A cela s'ajoute ses expériences télé avec De Caunes qui lui ouvre les portes d'un clan très select. La famille Canal reste un très bon réseau relationnel pour les ambitieux de la trempe de José. Dans le show-biz comme à l'écran, notre jet setter attire la sympathie et l'amitié de ceux qui l'approchent.

 

Le comédien d'origine espagnole naît à Paris en 1966. Après un BEP comptabilité, il se lance sur la voie de la comédie. Les cours Florent lui ouvrent la classe libre chez Huster. Son tempérament de pitre l'entraîne à l'école du cirque d'Annie Fratellini. Pour gagner sa vie, il endosse le rôle de chauffeur de salle de NPA sur Canal +. Repéré par Antoine De Caunes, il devient son collaborateur souffre-douleurs pendant sept ans jusqu'en 1996. Le but de José Garcia est de gagner de l'argent et d'infiltrer le show-biz. Il cherche à gagner le monde de la télévision et du cinéma.

 

Il attaque théâtre et cinéma de front dès 1987. L'acteur se prédispose au cinéma et prend le temps de se stariser pleinement. L'année 1996 constitue une année faste pour l'acteur : « Les démons de Jésus », « Tout doit disparaître » et l'exceptionnel « La vérité si je mens ! ». C'est ce dernier film qui révèle l'acteur au grand public. Commence alors la route de la gloire et de l'argent très facile pour notre artiste qui en demande beaucoup.

 

La suite, vous la connaissez : « Jet Set », « la vérité 2 », « le vélo ». Sa bonne humeur et son caractère expansif conviennent parfaitement au milieu people qui cherche sans cesse ses leaders. Son meilleur fond de commerce hors écran réside dans l'amitié précieuse qu'il a su tisser avec les décisionnaires de la profession. Notre VRP de la sympathie se dédouane de ses collègues acteurs en prospectant les cercles du cinéma.

 

Certains le croient séfarade, ce qui irrite notre méditerranéen qui rétorque chaque fois avec vigueur « catholique espagnol ! ».. José se retrouve souvent victime du Serge Benamou si souvent interprété (même hors tournage). 

 

Il faut pourtant accepter le revers de la médaille !
 


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A suivre, Gérard Lanvin tire à boulet rouge !

 

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