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Le coup du lapin

 

Ok on m’appelle l’amie des bêtes… mais là, ma réaction ne vient pas de ma sensiblerie puisqu’elle est partagée par de nombreux passants de la rue Mercière, qui, désagréablement surpris, partagent ma désapprobation…

 

Avez-vous vu ces lapins, sensés faire la vitrine du restaurant agricole « Gaston » : enfermés dans des clapiers de fortune, à tout vent et dans le froid : ils sont frigorifiés, en mauvaise santé. Bien loin du cliché du lapin rebondissant et malicieux, ou tout simplement mignon au milieu de la portée… puisqu’ils sont isolés dans leur cages.  Comment peut-on penser se faire de la promotion en donnant cette image d’indifférence et de mépris… à la devanture même de son établissement…

 

Quand on sait que le propriétaire du restaurant en question n’hésite pas à jouer les martyrs dans l’histoire de racket que vous avez évoquée dans vos colonnes (voir chronique, ndlr)… ça ne l’empêche pas de supplicier quotidiennement des animaux sans défense. Un manque de respect pour la condition animale qui, s’il se poursuivait, pourrait fort bien se retourner contre lui. On appelle ça le coup du lapin !

 

J’espère que Lyonpeople, en dépit de ses intérêts commerciaux, aura le courage de publier ces quelques lignes et que ses nombreux lecteurs feront pression sur le restaurateur en question pour que cessent ces pratiques d’un autre âge.

 

Cordialement,

 

Estelle Jamin, le 20 novembre 2003

 



A suivre, Biennale d’Art Contemporain : de la liberté d’expression au devoir de rébellion
 

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