La fête des Guinguettes
Lundi 14
juillet 2003
De notre
correspondant Julien
Les quais du
Rhône se transforment l'espace d'un pont de 14 juillet en quai des
Guinguettes (voir
chronique).
Ambiance festive et estivale pour ce week-end de quatre jours. Le sable
dame le pion aux voitures et une atmosphère villageoise s'empare des
quais. Les plus VIP déambuleront sereinement dans le plus simple
apparat. Impossible de ne pas croiser une tête connue. Les people qui
n'ont pas encore déserté la ville s'offrent ainsi une virée dans les
guinguettes.
Durant l'événement
nous découvrons la métamorphose de la terrasse du Fish en plage
privée Jet Set. Le Bus Café élargit sa terrasse aux quais et
garde l'esprit qui nous plait tant. Le Sirius transforme son quai
en salle de concert. Jocelyn Garabédian (Mac Ben Music) implante
deux imposantes guinguettes représentant l'Afrique et le Brésil. Une
tente marocaine se dresse plus loin avec ses dromadaires. Le Modern
Art Café installe une scène DJ ou nous découvrons Charles du
Rouge Rouge en plein mix. Ce dernier navigue incessamment entre son
restaurant du centre et les quais. L'Ayers Rock,
représentant de l'Australie, se situe prés du terrain de beach volley et
de la machine à surf. Radioscoop planta son camping car et une
scène de danse sur l'emplacement partagé en partenariat (encore) avec
Béatrice Denis (Les Négociants). La pelouse intégrait aussi le
décor. La fière équipe de la radio « n°1 » fit nuit blanche pour fêter
ce 14 juillet et la fin de l'événement harassant. Téo, Arno
et Antoine et les autres méritent désormais un peu de repos !
Le feu d'artifices
tiré sur le Rhône attira prés de 150 000 personnes. Ces derniers ont pu
aussi profiter simultanément du feu de Fourvière. Les quais laissaient
suffisamment de place à tous pour profiter tranquillement des deux
spectacles. Aucun problème de sécurité à déplorer. L'ambiance familiale
et détendue n'a pas quitté la manifestation. Les soirées de ces quatre
jours ont connu une belle affluence. Les terrasses avaient l'obligation
de fermer à minuit. La police municipale n'hésita pas à rappeler le
Fish à l'ordre, caméra au poing. La fermeté reste de rigueur.
D'autres obtiennent infiniment plus de clémence. Il appartient à
certains d'être dans les bonnes grâces de la ville. Cette opération
spéciale doit favoriser l'implantation du projet des berges du Rhône
2006. Finalement rien n'est jamais gratuit...
La
projection diapos, c'est maintenant !
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