La
libération de Jean-Marc Requien ?
Événement
ou non événement : contrairement à ce que répétaient inlassablement
certains journaux qui ont fini par s'auto-intoxiquer, Jean-Marc Requien
ne s'installera pas à l'Hôtel de Ville, ni à la Communauté urbaine.
« Comme
je l'ai toujours dit », précise Jean-Marc Requien qui répète
que le contrat liant son agence à la Ville a toujours été limité au 31 décembre
2001 (cf ses déclarations à Intermédia en mai 2001).
Il
ajoute qu'en effet, il lui a été proposé en septembre, de prendre des
responsabilités dans la communication des deux collectivités. S'il dit
avoir été tenté, cela n'a pas duré longtemps. Le devoir de réserve qui
lui était imposé, lui était devenu insupportable après les attaques
particulièrement violentes et répétitives dont il a été l'objet de la
part de ses anciens amis de Lyon Capitale.
Il
compte bien, dès son retour de Côte d'Ivoire où il est parti pour 15
jours de vacances, recouvrer son droit à la parole et régler quelques
comptes, non seulement avec certains médias, mais aussi avec un élu (au moins)
qui aurait tenu des propos imprudents.
Quand
on sait que le héros de roman préféré du futur ex-conseiller de Gégé
est le Comte de Monte-Cristo, on peut penser que le feuilleton ne fait que
commencer. Certains, qui le croient capable de tout, sont en train de faire
relire leurs textes par leurs avocats, afin de vérifier si leur haine ne
les aurait pas conduits à péter les plombs et lancer des accusations
diffamatoires...
A
suivre, Comment
les Parisiens ont sabordé le Figaro Rhône-Alpes
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