ISCPA...
La vérité est ailleurs !
De
notre correspondant Fox
Mulder
La semaine dernière, l'ISCPA s'est séparé de sa directrice, Sylvie
Krier dans des conditions mystérieuses. Une situation qui reste floue
et inexpliquée...
En
1998, l'ISCPA ouvre ses portes sous la direction de Caroline Auclair.
Cette école de communication et de journalisme dépend de l'IGS,
groupe qui a sous ses ailes entre autres le CEFAM, l'IMIS...
Au printemps 2000, alors que l'école accueille 76 étudiants, Caroline
quitte l'établissement pour rejoindre le Progrès.
Sylvie
Krier (ci-contre) prend alors les rênes de l'école. Son challenge aurait
été de recruter un grand nombre de nouveaux étudiants et de veiller à ce
que les diplômés soient placés à la sortie de leur formation. Un peu
plus d'un an est écoulé et le bilan est mitigé : certes l'école
accueille aujourd'hui quelque 140 étudiants mais elle n'est toujours pas
reconnue par la commission de la carte presse, ce qui peut consti-tuer un
handicap pour les étudiants journalistes.
Une combinaison de trois facteurs
auraient aidé les décisionnaires à prendre la résolution de renvoyer
Sylvie Krier : un manque évident de relationnel avec ses étudiants et le
personnel, des relations presse/publiques inexistantes (ce qui expliquerait
la non-notoriété de l'ISCPA) et des objectifs commerciaux non tenus.
L'ancienne
directrice a donc définitivement rem-ballé ses affaires vendredi soir sans
avoir donné une quelconque explication aux étudiants et à leurs parents (à
30 000 francs l'année, cela aurait été la moindre des politesses). De son côté, le
groupe IGS refuse de commenter sa décision. Pourquoi Sylvie ne
s'est-elle pas expliquée sur son départ ? Refus personnel ou une
interdiction venant de ses supérieurs ?
Fabrice
Parat,
ancien Directeur des BTS Communication au sein du groupe IGS et
intervenant à l'EFAP, a donc pris le poste de Directeur de l'ISCPA.
A défaut de Caroline Auclair qui aurait été approchée... Bilan de l'ISCPA
: 3 directions différentes en 4 ans, Fabrice Parat apparemment désigné en
dernière minute... Un déséquilibre étrange... ISCPA, aux frontières du
réel...
A
suivre, Les
exilés volontaires de la restauration lyonnaise !
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