Independance Day à l'Hôtel de Ville...
De notre correspondant Mehdi
Hubert Julien Laferrière, adjoint au
maire, recevait dans le grand salon de
l'Hôtel de Ville jeudi 4 juillet 2002
les représentants du consulat
américain pour fêter l'indépendance
des USA. Cette réception révèle la
volonté des bureaux du maire Collomb
de vouloir renforcer les liens entre
les Etats-Unis et notre capitale, afin
de voir fleurir une nouvelle économie.
Sir
Scott Thompson,
représentant du consulat américain à
Lyon, présidait avec cousin Hub le
cérémonial du 4 juillet en présence
d'un tout petit comité concitoyen des
deux camps.
Cette représentation américaine à
Lyon, née en 1998, renforce la volonté
politique de tisser une nouvelle toile
économique entre la capitale des
Gaules et l'univers outre atlantique.
Aux hommages élogieux des vic-times du
World Trade Center, se succéda un
apéritif durant laquelle Sir Thomson
présentait son équipe
(ci-contre)
et son amitié pour la ville de Lyon.
Le Champagne a peine débouché les deux
représentants trinquaient déjà
« virtuellement », preuve que les deux
bureaux ne pouvaient que s'entendre.
Outre
l'aspect festif de la fête de
l'indépendance, et on vous épargnera
les cours d'histoire, deux enjeu
sérieux semblent s'imposer : tout
d'abord une économie plus dynamique, à
l'image d'Infogrames installé à
NYC, permettrait à la plate forme
Saint Exupery de rétablir sa ligne
Lyon-NYC qui s'était arrêter pauvre de
buisness voyageurs.
L'aéroport lyonnais pourrait alors
s'affirmer comme le troisième en
France capable d'offrir des long
courriers à l'international,
concurrençant par la même l'aéroport
de Genève. En outre si Lyon montre de
part ses rapports à l'étranger un
effort de communication il pourrait
alors être plus facile pour la
capitale de la région de se mesurer à
ces futurs colocataires dans une
Europe des régions.
Deux arguments qui ne sont pas
insensibles au maire...
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