Le
directeur de Lyon Mag répond aux potins d'Angèle...
Philippe
Brunet-Lecomte contre Miss Angèle,
Lyon Mag contre Le Progrès, c'est un peu David contre Goliath...
c'est
surtout deux conceptions du journalisme diamétralement opposées. Nous
avons tenté - en vain - de rencontrer Philippe Brunet-Lecomte...
Le
patron de Lyon Mag qui passe son temps à envoyer des questionnaires aux
élus, haut fonctionnaires et capitaines d'industrie pour savoir combien
ils gagnent, n'a pas accepté de jouer le jeu à son tour en recevant
les chroniqueurs de Lyon people.
Vous trouverez ci-dessous sa réponse à Gérard
Angel, en espérant vous rapporter très prochainement un reportage
sur les coulisses du mensuel le plus sulfureux de Lyon.
Chers
confrères de Lyon People
Je sais que vous avez cherché à me joindre. Comme à Lyon Mag on
consulte régulièrement votre site (très drôle, même si j'en prends
souvent plein la gueule), j¹imagine que vous souhaitiez que je réponde
aux crétineries proférées par Miss Angèle contre Lyon Mag et moi-même.
Je préfère donc vous répondre directement par e-mail. Je n'ai aucune
agressivité personnelle contre Miss Angèle et ses petits potins.
Franchement, je l'ai croisé au maximum une demi-douzaine de fois depuis
que je travaille à Lyon. Aujourd'hui, il essaye de faire croire qu'il me
connaît bien, qu'il a été mon maître en journalisme.. Mais il se vante
! Même ceux qui à Lyon me détestent (nombreux) savent que la différence
entre Angèle et moi, c'est que j'ai toujours été un journaliste d'enquêtes
et de terrain, que j'ai toujours pris des risques, ce qui m'a valu
notamment d'être viré du Figaro.
Mais que je ne suis pas une commère,
ni un journaliste de cocktail et de salon, comme Miss Angèle. De plus, je
n'ai jamais mis les pieds au Progrès car à l'époque où j'étais au
Figaro les locaux des deux journaux étaient situés l' un à Choulans, l'autre
rue de la République. Et celui qui dirigeait alors Lyon Figaro (Alain
Bulher, un vrai pro) refusait tout contact avec le Progrès, Ellie, Miss
Angèle et toute la clique qu¹il qualifiait de "ringards" et de
"nuls".(...)
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