Catherine Bonhomme dans
tous ses
états d'art
De notre correspondante Françoise Petit
Elle est jeune, belle, et bosseuse. Ca agace ceux qui réduisent les qualités
d'une femme à un joli minois. Cela n'atteint plus l'intéressée qui s'attache à
partager ses émotions avec de vrais amis.
De la lumière de l'espace, des touches de couleur plutôt rouges et une musique
douce comme la sonnerie chants d'oiseaux du téléphone... Chez Catherine
Bonhomme tout est ordonné, charmant, fonctionnel. Son appartement se situe
dans le même quartier que sa boutique qui la retient à Lyon : je prends peu
de vacances, mais j'ai toujours l'impression de voyager . Très timide avant
d'avoir compris que s'ouvrir à la communication était la base d'un
positionnement professionnel Catherine Bonhomme s'investit complètement dans son
business et le fait savoir. C'est plutôt bon signe.
Cette Catherine là, vue et revue sur papier glacé ne fige pas une personnalité,
loin s'en faut ! Lorsqu'à Lucinges chaque dimanche elle retrouve sa famille
(exceptée sa sur Sylvie vivant aux Etats-Unis) la fête est complète,
avec la ribambelle de cousins et cousines, les petits plats d'une mère cordon
bleue, ou les promenades à travers champs. Véritable thérapie pour affronter la
ville les séjours de Catherine en Haute-Savoie oxygènent ses jours et ses nuits
lyonnaises.
Très attachée à son image pour aborder les autres, mademoiselle Baccarat évite
le blues. Sa méthode pour y parvenir est celle d'une personne volontaire
respectant son corps et son capital santé. Fuyant les salles de sport peuplées
de gens qu'elle croise déjà dans les cocktails, Catherine suit des cours de gym
dans un petit club du 2ème et consulte un formidable nutritionniste à St Priest.
Yeux bleus, peau de pêche, jambes de starlette, la gracile Catherine ne se
permet aucun écart de look ! Stéphane Philippe son coiffeur de la rue
Gasparin doit s'y plier comme tout ceux qui s'occupent de sa beauté.
La belle est catégorique lorsqu'elle dit : je vis dans un univers de
cristal, je ne supporte ni une trace de doigts ni un ongle écaillé . Il est
loin le temps où la petite Bonhomme débarquait à Lyon pour les Pénons avant de
tomber amoureuse du produit Baccarat dans un magasin du 6ème. Depuis 1995
elle vole de ses propres ailes rue des Archers et ne cesse d'ancrer la
réputation de Baccarat. Sa mère lui téléphone tous les jours, son père
l'épaule et ses amis aiment partager des apéritifs dînatoires at home. Autour
d'un verre de condrieu, lorsqu'elle ne relit pas « l'Alchimiste », la détente
est garantie, le moment choisi pour dire il y a autre chose que le paraître
dans la vie .
Etre aux côtés de Catherine Bonhomme c'est une déclaration d'amitié.
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