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Amaury
Nardone brise la glace
Nous
avons enregistré des réactions plutôt vives
à la suite des deux premières chroniques de
Justin Calixte, alias Jean-Marc Requien,
traitant des législatives. Dont celle d'Amaury
Nardone, candidat dans la seconde
circonscription (voir chronique).
Grand seigneur, le bras droit de Charles Millon
lance une invitation à déjeuner à son détracteur.
Nous transmettons à l'intéressé.
« Je
n'attendais pas tant de sollicitudes de la part
de Lyonpeople, cher Marc.
N'hésite pas à me présenter ton ami Justin
Calixte que je n'ai pas l'honneur de connaître.
Il pourra alors évoquer ma personnalité en
connaissance de cause, pas simplement en se réfugiant
dans des jeux de mots simplistes sur mon nom de
famille.
C'est
tellement facile de dire n'importe quoi
lorsqu'on avance masqué... Il pourrait avoir un
peu de pudeur et ne pas en même temps se
plaindre que les gens ne vont plus voter.
(...)
Je connais très bien mon problème, qui est
celui de tous les grands un peu secs. Ceux qui
se donnent la peine de bien vouloir essayer de
me connaître, en prenant le temps de déjeuner
ensemble par exemple (je l'ai fait avec presque
tous les journalistes de Lyon), savent que je ne
suis pas dépourvu de la chaleur humaine que tu
évoques, loin de là.
Si ça n'était pas le cas, il faudrait
m'expliquer comment j'arrive à faire avancer
des équipes soudées et motivées en politique,
comme dans le 9ème... et comme dans la 2ème
circonscription en ce moment.
A bientôt dans une pipolerie lyonnaise. »
Amaury Nardone, le 29 janvier 2002
La
réponse de Justin Calixte
Cher
Amaury Nardone,
Il
est vrai qu'il est facile de dire n'importe quoi
lorsqu'on avance masqué ; certains préfèrent,
vous en êtes, le faire à visage découvert, même
à la Tribune du Conseil Municipal.
Pardon
pour les mauvais calembours, mais ils sont préférables
à ce que j'aurais pu écrire sur votre
personnalité.
Ce
n'est pas votre rappel à la pudeur m'incitant
à "ne pas me plaindre que les gens
n'aillent plus voter" qui me fera
changer d'avis. Bien au contraire !
A
suivre,
Martine
Roure au chevet de Toussaint Pothin...
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