Chandeleur au Sofitel
Lundi 3 février 2003
La Chandeleur réunissait lundi soir dans les salons du Sofitel - moins
bondés que pour la sortie du Beaujolais - la fine fleur des mondains
lyonnais. Une fois les parasites partis, la soirée s'est transformée en
un entre-soi des plus sympathiques... Parmi les invités, s'était glissée
cette année une jeune fille prénommée Margareth qui nous a fait passer
par mail ses impressions sur sa première Chandeleur. Le voici.
Ah, la Chandeleur au Sofitel : j'y étais !
« Comme chaque année, le mois de février pointant son nez, nos chers
amis jet-setteurs attendent impatiemment ce précieux carton d'invitation
pour la fameuse soirée de la Chandeleur au Sofitel. Et cette
année, ce « précieux » est arrivé dans ma boîte aux lettres. Branle-bas
de combat : « Qu'est-ce que je vais me mettre sur le dos ? ».
Lundi 3 février 2003 : Je débarque au Sofitel. Le décor est planté.
J'entre et à ma gauche, voilà les premières crêpes ; pour l'instant,
rien d'affolant, elles ne sont qu'au sucre. J'attends impatiemment la
suite. Évidemment, ça se bouscule au portillon, tout le monde
s'agglutine autour du crêpier (on ne sait jamais, il pourra ne pas y en
avoir assez). Direction, le champagne. Le Sofitel ne manque pas à sa
réputation, et régale ses invités de bons magnums de Champagne, Moët,
s'il vous plaît ! (...)
Enfin, arrivent les crêpes au chocolat, délicieusement relevées au Grand
Marnier, et avec une coupe de champagne, c'est encore meilleur. Et, hop,
un petit sourire au photographe de Lyon People et un autre, à la caméra
de TLM. Comme ça, j'ai bien la preuve, que moi, lyonnaise depuis peu,
j'étais bien présente à la soirée de la Chandeleur du Sofitel.
Inlassablement, le Sofitel n'a pas failli à sa réputation et a encore
une fois réussi à charmer ses invités. Vous n'y étiez pas, tant pis pour
vous, vous avez raté quelque chose ! peut-être que l'année prochaine,
vous recevrez le « précieux » carton dans votre boîte aux lettres.
Malgré tout cela, triste constat, où sont passés tous les autres
représentants de la jeunesse lyonnaise ? Ils attendent peut-être encore
leur carton d'invitation, les pauvres. On les a peut-être oubliés ? et
moi, comment me le suis-je procuré ?
Ça, c'est un secret ! » Margareth Chauvin
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