La
soirée Beaujolais du Progrès
comme si vous y étiez !
Photos Nico
De nos correspondants Marco et Alexandre
Mercredi 19
novembre 2003. Véritable rampe de lancement des festivités beaujolaises, l'avant
première du Progrès a une fois de plus tenu toutes ses promesses. Près
de 1 500 happy few se sont retrouvés dans les salons du Sofitel pour une
soirée placée sous le signe de la convivialité. Le Tout Lyon rassemblé
au même endroit au même moment. Quel délice ! Aux innocents les mains
pleines, les moins soupçonnables sont les plus grands pic assiettes ; de
quoi faire honneur à la réception organisée comme chaque année par le
quotidien. So lyonnais...
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L'épinglette à
l'effigie du quotidien « près de chez nous, proche de nous » fièrement
arrimée à la veste, une cohorte de têtes grisonnantes sont tournées vers
l'estrade où campent les officiels, attendant impatiemment la fin des
discours qui marquera le signal pour se ruer sur le buffet. En grands
professionnels de la communication, tant Christian Coustal, P-DG
du Progrès que Gégé, Maire de Lyon ont trouvé le sens de
la formule rapide et efficace, pour laisser au président de l'Union des
Viticulteurs du Beaujolais le loisir de jouer avec le mot « cru » :
cru-stacé, cru-dité, cru-cifix, cru- du fleuve, etc... un exercice
éminemment cruel pour les ventre vides...
Heureusement,
quelques convives ont résisté à l'appel du buffet qui résonnait tel le
chant des sirènes chez certains, préférant l'art de la rhétorique à
celui de l'agape, sous l'il toujours attentif d'Eric Obeuf, le
directeur du palace. Décidant d'emboîter le pas de la tournée des
popotes du Progrès conduite de main de maître par Jean Pierre
Guillot et Marc Jean, ce n'est que happé par la foule que
nous dûmes arrêter notre périple. Juste le temps de remarquer que malgré
un récent et non moins retentissant litige, Lyon Mag a dépêché
sur place ses forces d'intervention spéciale en la personne de
Corinne Franco.
Dans le hall
principal, l'air est plus frais, car seuls les non affamés s'y
retrouvent. Le terrain de chasse est idéal pour Bruno Gerbex du
PMU faisant son recrutement pour sa soirée de gala... Non loin de là,
Béryl Maillard toujours pimpante est en grande discussion avec
Gerhard Herrbach son homologue consul du Luxembourg, qui n'omettra
pas de nous préciser que Lyonpeople était à l'origine de ce qui aurait
pu friser l'incident diplomatique. Un de nos chroniqueurs lui ayant
malencontreusement prêté une épouse qui n'était pas la sienne... Encore un
qui paie pour les autres !
S'attarder dans
les cocktails étant comme chacun le sait de mauvais goût, vos serviteurs
vidèrent les lieux vers 21h. La fin de l'histoire n'appartient donc qu'à
ceux qui sont restés, ce qui n'est bien entendu pas votre cas ?
La
projection diapos, c'est maintenant !
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