Lancement
de Lyon sur la terre
mardi
24 octobre 2000
De
notre correspondante Stéphanie
Tout
a commencé il y a six mois, le bruit courrait qu'un nouveau magasine
allait pointer le bout de son nez. Depuis, Olivier
Chamarande (ci-contre) entouré d'une équipe dynamique a fait ses
preuves et le magasine Lyon
sur la terre est devenu une référence. Seulement, après le succès
du lancement du premier numéro en septembre dernier, Lyon sur la terre
entendait aller encore plus loin en consolidant les relations avec ses
clients prestigieux et ses lecteurs lors d'une soirée de « prestige »
organisé à la Cour des Loges...
C'est
autour d'un buffet très fin concocté par Nicolas
Le Bec, le chef cuisinier du groupement Les
fermes de Marie, que tout le gotha mondain, chefs d'entreprise,
avocats, commerçants et personnalités du milieu lyonnais ont pu se
retrouver et converser, coupe de champagne ou verre de vin à la main. Dès
19h30, les convives se sont rués sur ce buffet, le mot est faible, et y
ont fait honneur avec un peu trop d'engouement, ne laissant rien ou très
peu aux retardataires...
Les
plus débrouillards se sont repliés vers le « caveau » où régnait
une sorte d'euphorie gustative, et où l'on pouvait déguster, entre
amis, quelques vins accompagnés de pain et de fromage façon « terroir »,
le tout entouré des bouteilles les plus prestigieuses mais scellées...
heureusement ! Les plus fêtards, pour leur part ont préféré se
regrouper près du bar où l'ambiance se faisait plus feutrée et plus
festive. On pouvait y reconnaître quelques noms de la restauration tel que Michel
Barthod ou Isabelle Kébé, en
charmante compagnie !... C'est là que nous avons retrouvé le
boss des éditions Sur la terre, Jean-Jacques Fourny accompagné d'un
Jean-Pierre Kalfon en grande forme. A l'issue du cocktail, le
comédien n'avait aucune envie de s'arrêter là.
La
soirée s'est terminée tranquillement sur le rythme d'un groupe de
jazz qui après coup, nous aura laissé pantois ou séduit... à voir.
Certains ont cru reconnaître en fin de soirée Olivier Chamarande à la
batterie (ci-contre) !
Il
est sans doute judicieux de mettre cette vision sur le compte de l'heure
tardive...