REMISE DES DIPLOMES EFAP 2004
Par décision de justice
Photos © Saby Maviel / Mandrake Studios
De nos correspondants Arnaud Curt et Olivia Perradin
Dernière étape dans la vie d'un apprenti communiquant, la remise des
diplômes rime souvent avec grand saut dans la vie active. Les 86
nouveaux diplômés se sont vu remettre leur distinction des mains même du
garde des Sceaux, Dominique Perben, le jour d'une actualité judiciaire
chargée.
L'EFAP Rhône-Alpes
reconnue comme l'une des meilleures écoles de communication de la région
a honoré le vendredi 2 juillet dans les locaux de l'école normale
supérieure, ses 86 nouveaux diplômés. Ces derniers pourront inscrire
leur noms dans la liste des prestigieux anciens élèves compte comme
Priscille Garcin, la dircom de France Télévisions ou du
journalisme à l'instar de Laurence Ferrari ; ce que n'a pas
manqué de rappeler le fondateur de l'école Denis Huisman. Mais
cette 34ème promotion avait le privilège de recevoir le
précieux sésame du futur candidat aux municipales lyonnaises,
Dominique Perben. Ce dernier, venu avec son épouse Corinne, a
entonné un rapide discours avant un duplex national en raison d'une
actualité judiciaire chargée (communication, quand tu nous tiens...).
Jean-François
Croës,
directeur de l'EFAP a également salué le travail de ses 86 lauréats
maintenant armés pour affronter différents univers professionnels tels
que les institutions, les médias, les entreprises ou les agences.
Certains se sont même distingués dès leurs parcours estudiantin à
l'instar du chroniqueur Mehdi Navah (désormais trop mondain pour
figurer sur nos photos) accompagné par son fan-club emmené par
Jean-Claude Beaumont et Stéphane Ménoret (LOU Rugby) ou d'Antoine
Tallis (cher à notre chroniqueur Alexandre) qui a
contribué à l'organisation de différents événements de Radio Scoop (en
compagnie d'un autre ancien de l'EFAP, Théo, remember...). Gageons
que ses 86 nouveaux diplômés connaîtront le même parcours professionnel
que ses illustres aînés à l'instar de Laurence Ferrari...
La
projection diapos, c'est maintenant !
o
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