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/ LES INTERROGATOIRES à KGB 


 

 

On peut dire que vous êtes d'une grande fidélité vis à vis de Jaguar... En est-il de même dans votre vie sentimentale ?

J'ai peur que ça ne soit pas tout à fait le cas mais la bonne volonté existe. Je crois que je suis plus fidèle en amitié qu'en amour.

 

La vue de votre tableau de chasse ferait pâlir Michael Douglas... Vos nombreuses conquêtes sont unanimes pour dire que votre voix et votre charme sont vos principaux atouts de séduction...

C'est sûr que si elles attendaient les muscles...

 

Elles ajoutent que vous êtes un bon coup au plumard. Vous vous êtes mis au Viagra ?

Non mais j'y pense sérieusement depuis que je n'ai plus que deux fiancées.

 

Qui sont vos deux fiancées du moment ?

J'ai toujours été bigame, c'est un besoin. Comme une femme peut en cacher une autre, moi je suis bien abritée derrière les deux et qu'elles se débrouillent, celle qui gagne me rejoint.

 

C'est toujours d'actualité ?

Toujours.

 

On vous a surnommé le beau-frère de Léotard à une époque. Pouvez-vous nous dire pourquoi ?

Je crois que nous avons eu à un moment une fiancée commune.

 

On raconte que vous avez fait sensation lors du mariage d'un journaliste lyonnais... Vous avez enlevé la mariée en pleine réception...

Pas du tout... (rires)

 

Pouvoir, édition, femmes... avez-vous d'autres passions ou hobbys ?

Je crois que tout ça fait un bon équilibre. J'aime les femmes, elles sont en général attirées par le pouvoir.

 

Le sport en général et le ski en particulier n'en font pas partie... La première fois que vous êtes monté sur des planches, vous vous êtes cassé l'épaule droite et le seconde fois l'épaule gauche...

C'est dans le désordre et je ne me suis pas contenté de me démettre, je me suis cassé une première épaule en 1974 à Courchevel et l'autre le soir du 31 décembre 1977. J'en ai conclu que je n'étais pas fait pour le ski.

 

Parmi vos autres passions non avouées, il y a la pharmacologie. Quand vous partez en vacances vous prenez un petit sac pour les vêtements et une malle pour les médicaments. D'où ça vient ?

C'est un cachet par heure. J'ai des traitements il faut bien que je les prenne !

 

Qu'en est-il de votre brevet de pilote d'avion dont la première leçon date d'une soirée fort arrosée sur l'île Moustique ?

Non j'étais pilote longtemps avant. J'étais pilote parce que je commençais à prendre une trouille en avion, j'avais vraiment peur alors j'ai pris des cours à Bron mais je n'ai jamais vraiment été un pilote de chasse.

 

Ce fameux soir, vous aviez tenté de décoller sur la piste de l'aérodrome au volant d'une mini Moke !  Votre dernière grosse cuite remonte à quand ?

C'était il y a quinze jours à Saint Barth. En général je ne bois pas beaucoup d'alcool mais quand je me mets devant les tee punchs c'est l'horreur.

 

On vous prête également une passion immodérée du cigare et du chocolat suisse...

C'est vrai !

 

Plutôt journal de 20h ou journal du hard ?

Journal de 20h, j'ai toujours l'impression qu'il n'est pas possible qu'un évènement arrive dans le monde que je ne connaisse pas.
 

Cuir ou porte-jarretelles ?

Cuir, je crois que ça ne m'est jamais arrivé, plutôt porte-jarretelles. J'apprécie mais ce n'est pas... J'avais un copain dans la pub à Lyon, il ne pouvait pas supporter que sa femme n'ait pas de porte-jarretelles...
 

Quelle est votre position préférée ? Dans un lit ou un ascenseur ?

De plus en plus dans un lit, c'est un problème d'âge mais je crois que j'ai tout fait, je n'ai jamais eu beaucoup de limite à ce genre de choses.


 

Suite de l'interview