Béatrice Denis en compagnie de sa fille Sophie
et de sa petite fille Illona
A 50 ans, qu'envisagez-vous par la suite, à part gâter votre petite fille
Illona!
Je n'ai pas encore
réfléchi. Tant que je suis dans mon trip, je ne pense trop à ...
Est-ce que vous
arrivez à vous projeter dans l'avenir ?
Pas trop non. Pas bien.
Je suis encore à fond dans les Négos. Il y a encore un peu de choses à
faire. Voilà.
Votre fille
Sophie est une diseuse de bonne aventure réputée. Vous ne l'avez jamais
consultée pour savoir si vous alliez prendre votre retraite à Saint-Tropez
ou à Megève ?
Jamais. Elle a
l'intelligence de ne pas me donner de prédictions. Je ne sais pas.
Comment
jugez-vous ce don qu'elle a ?
A entendre mes amis,
il paraît qu'elle est remarquable et étonnante. Moi je ne sais pas. Tant
mieux pour elle. C'est bien. Je suis contente. Elle, ça lui plaît.
On va finir avec des questions plus personnelles. A l'instar du maire
de Lyon, avez-vous touché à des substances illicites ? Votre dernier
pétard remonte à quand ?
Dix minutes ! Non, pour ne pas mourir idiote, j'ai dû goûter. Mais ce
n'est pas mon truc. Je ne fume pas. J'ai goûté une fois du pétard, mais
moi ça m'endort.
Dans votre loft de la rue Neuve, vous êtes plutôt journal de 20h ou
journal du hard ?
Je ne suis jamais à
20 heures chez moi donc...
Si vous deviez
choisir votre partenaire d'une nuit ce serait Collomb ou Perben ?
En partenaire d'une
nuit, ni l'un, ni l'autre. Mais ma préférence va à Gégé. Non mais, ni
l'un, ni l'autre.
On sait que vous êtes une adepte des strings mais vous le recevriez en
cuir ou en porte-jarretelle ?
En porte-jarretelles.
Dans votre lit ou dans l'ascenseur de l'immeuble ?
J'ai pas d'ascenseur ! (Rires)
Suite de l'interview
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