Anne-Marie Comparini entourée de Laurent
Mazille et de Pierre Chambon, directeur de l'àKGB
Les portraits animaliers ?
Raymond Barre ?
Babar, le roi de la forêt !
Charles Millon ?
Têtu comme un âne !
Jean-Jack Queyranne ?
Un singe !
Michel Mercier ?
Le gros matou !
Gérard Collomb ?
C'est un peu difficile... Il est ici il
sera quelqu'un, il va aller ailleurs il sera un autre... Un caméléon, parce
que là où il est, il prend la couleur du coin !
François Bayrou ?
Les guignols sont trop durs avec lui, je
trouve qu'il a un côté généreux qu'on n'arrive pas à faire passer... Un lion
courageux.
Dominique Perben ?
Je suis contente de moi ! Je pense que
c'est le dalmatien père à la recherche de ses petits dalmatiens lyonnais
de l'UMP perdus pour les prochaines municipales...
La question de Laurent Mazille, votre attaché parlementaire :
Chère Anne marie, si vous n'aviez pas rencontré Raymond Barre, vous
n'auriez pas fait de la politique ? Aujourd'hui est-ce que vous pourriez
envisager d'être à la tête de France télévision ou d'une autre chaîne de
télévision ?
Alors peut être pas
France Télévision parce que pour être là il faut être les amis du pouvoir,
ça demande certaines choses mais puisque je me souviens je suis rentrée en
même temps et on faisait le même cheminement de Gérard Maillat que j'aurai pu être présidente de
radio France internationale et j'aurai aimé ça, parce que être la voie de
la France, c'est sympa mais en la faisant honnête bien sur !
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