Réponse à celui
qui m'accuse d'utiliser cette chronique pour régler mes comptes
personnels.
Je vais me gêner. Je
ne le fais qu'avec des gens qui ont pignon sur rue, qui ont le Pouvoir, ou
un pouvoir, dont souvent ils abusent. On l'aura remarqué, j'espère,
j'agresse particulièrement ceux qui profitent de leur pouvoir pour
eux-mêmes régler leurs comptes, favoriser leurs copains et détruire ceux
qui ne pensent pas comme eux.
Bref, les sectaires,
les intolérants qui ne supportent pas qu'on les mette en cause. Suivez mon
regard.
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Pour terminer,
deux mots pour répondre à l'internaute qui me reproche hâtivement mon "homophobie",
sous prétexte que j'ai raillé la communauté gay avec insistance ces
derniers temps.
Je ne suis pas le
seul à l'avoir fait. Y compris dans les milieux homos. Beaucoup de gays,
par définition non homophobes, dénoncent le communautarisme gay, le
business gay, les ghettos gays et l'exhibitionnisme outrancier de
beaucoup. Ajouterais-je que l'actualité gay était importante ? De
nombreuses émissions ou papiers leur étaient consacrés.
Insisterais-je en me
demandant pourquoi on ne se moquerait pas des gays lorsqu'ils le méritent
? Pourquoi même ne les critiquerait-on pas ? Comme on pourrait critiquer
les fumeurs de havane, les cruciverbistes, les prêtres pédophiles, les
miraculés de Padré Pio, les amis de Douste Blazy, les petits porteurs de
Vivendi ou, pour revenir à des connotations plus sexuelles, les
sodomiseurs de mouches ou les onanistes intellectuels, ou encore "les
franc-machons", les adhérents de l'Ordre de la Raie, les "Boyaux rouges",
les casse-bonbons et même "les cénobites tranquilles", s'ils en
venaient à défiler pour affirmer fièrement leur différence ; même si parmi
eux je comptais des amis, je ne pourrais m'empêcher de m'esclaffer et de
me moquer du ridicule de leur démarche extravagante, et même parfois
d'exprimer ma colère tant on connaît les méfaits des communautarismes qui
mènent aux ghettos.. qui mènent où l'on sait.
Pour revenir à nos
homosexuels lyonnais, constater que des homos se rassemblent pour
finir dans Les Terreaux, ne peut que faire rire le sinistre amateur
de calembours approximatifs que je suis !
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Sur ce, salut. Je ne
suis plus là pour personne jusqu'à fin août. Donc, à la rentrée !
Encore que rien
ne dit que je serai là.
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