Loana :
« Me faire ça, à moi, ta sur ! »
De
notre correspondante Loana Da Monte
Depuis
qu'elle est entrée dans le loft en mai dernier je n'avais plus de
nouvelles ! Loana,
mon homonyme, ma sur, ma siamoise même avait disparu de ma vie, et seul
mon super-abonnement TPS me permettait encore de savoir ce qu'elle
devenait. Du
coup lorsque j'apprends la venue de ma bimbo préférée à Lyon au
Virgin, je me précipite.
Et
bien apparemment la famille est nombreuse puisque l'endroit dégouline de
centaines de cousins boutonneux, cheveux gras et trace de Yop au coin des lèvres !
Difficile de se faire une place et j'entreprends donc de m'incruster
chez mes collègues journalistes prétextant moi aussi avoir rendez-vous
avec la belle pour une interview.
Et
là, surprise : eux comme moi nous faisons virer après trois quarts
d'heure d'attente. Nous
devons même subir les caprices d'un jeune attaché de presse tout juste
pubère qui ne tolère sur place que trois photographes triés sur le volet.
Mais
tout cela s'envole et plus rien n'existe autour de moi quand soudain
ELLE apparaît. Sans
surprise elle est grande (20 cm d'épaisseur de plateforme-shoes), elle
est blonde (l'Oréal parce qu'elle le vaut bien) et ses cheveux
sont immenses (comme Barbie tu tires dessus et ils s'allongent). Sans
surprise, non plus, elle est vulgaire, terriblement vulgaire et gentille
peut-être trop gentille.
Incapable
de gérer son timing, la belle s'éternise avec chaque fan et très vite
la foule se rend compte qu'il sera sans doute impossible de l'approcher.
Du coup avec la classe qui le caractérise, le public de Loana commence à
proférer quelques noms d'oiseaux (pauvre dinde) et moi, abasourdie, je
pleure constatant qu'encore une fois ma tentative de rapprochement
familial échouera !
A
suivre, Jean-Marc Requien sur le départ ?
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