Philippe
Violeau, Milieu, n°6
Eté
1997, Philippe Violeau, au même titre que Bak est
arrivé lors de l'éclosion de l'Olympique
lyonnais en coupe européenne. A la différence
des coéquipiers de son âge (la trentaine
environ), Philippe est l'un des rares à ne s'être
pas encore passé la corde au cou ou si vous préférez
la bague au doigt ! Attention, je ne veux pas
dire par-là qu'il est
célibataire mais seulement que si vous réussissez
à le séduire c'est moins grave que s'il était
marié ! Une de ses passions : les
belles carrosseries... je parle de celles des
voitures bien sûr et non pas de moi !
Bon, trêve de plaisanteries ! Il aime les
vieux modèles (je parle là encore des voitures
et non des femmes, remarquez chacun ses goûts !!!)
qu'il prend un grand plaisir à « retaper »
lui-même.
En
ce qui concerne sa carrière professionnelle, Il
est du genre stable ! Après avoir débuté
sa carrière à Niort où il y a passé 5 ans de
88 à 93, il fût transféré à Auxerre et tout
comme Steve Marlet, il évolua sous les
« ordres » du très « sexy »
Guy Roux (remarquez, je ne pense pas trop
que se soit le mot « sexy » qui
convienne !). Et quand j'emploie le mot
« ordre », je n'exagère pas.
C'est plutôt le genre une main de fer dans un
gant de ... fer !!! Il passa 4 ans dans le
club bourguignon, années pendant lesquelles
Auxerre était le meilleur club français en
réussissant le doublé coupe de France et
championnat de France (95/96). Philippe est un
pilier de l'OL et est un des responsables de la
bonne ambiance qui règne dans le groupe. Son
poste en tant que milieu de terrain lyonnais
plutôt défensif ne l'empêche pas
quelques fois de monter sur certaines actions. Il
faut aussi noter la puissance de son pied droit et
de ses tirs sur les coups francs bien placés qui
en font justement un des tireurs de prédilection
avec Pierre Laigle.
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