Le
Courrier des lecteurs
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Les
roitelets et les califes
Première
résolution pour 2002 : défendre la veuve
et l'orphelin et tous ceux qui sont vilipendés
à tort (pour cela il me faudra une vie ou
deux). Pour cette dernière, commençons dès
aujourd'hui. Je souhaite tout d'abord
donner, moi aussi, mon avis dont d'ailleurs
tout le monde se fout, à part mon père, ma mère,
mes frères et mes surs oh, oh... ce serait le
bonheur (c'est nul ! Je sais) sur les
politiques, les lieux branchouilles (sic), le
sport, la culture et Lyonpeople.com !
Puisque
nous sommes en période électorale, je
commencerai donc par les politiques sans me
prendre toutefois pour Toussaint Pothin. La
royauté est morte mais pas les courtisans qui
discutent dans des salons cossus de nos préoccupations
quotidiennes, ni les corporations semble-t-il...
Le problème aujourd'hui c'est qu'il n'y
a plus un seul roi mais une multitude de
roitelets, soucieux de devenir calife à la
place du calife. Et gare à celui qui
s'attaque au chef des roitelets tel Henry
Chabert. Comme dirait ma grand-mère
« Les imbéciles et les vaniteux
gagnent plus souvent que les autres pas parce
qu'ils sont meilleurs mais parce qu'ils
osent parler fort et sont les plus nombreux »
Henry Chabert est bien placé pour le savoir !
Il n'a pas toujours eu raison mais c'est un
grand monsieur et ils se font rares de nos
jours. « Tu deviens chiante »
me glisse Sophie. Certes mais ça me fait du
bien. Je dirai donc du bien d'autres
personnalités dans une prochaine édition.
Autant
dire que je ne parlerai jamais
de...bip...(censuré)
Je
ne sais pas ce que j'ai, mais je suis plutôt
d'humeur bienveillante ce matin. Je vais donc
en profiter pour faire mon mea culpa à Pierre
Chambon. Monsieur d'aspect plutôt
distant, je trouvais que son établissement lui
ressemblait beaucoup et je regrettais de mal y
manger il y a quelques mois encore. Et bien je
ne pense plus du tout la même chose. Non
seulement c'est bon mais en plus c'est sympa
quand vautrées sur les coussins à même le sol
Sophie et moi avons été chouchoutées par le
personnel dans une atmosphère douce et délicate.
Merci beaucoup à ces messieurs et aux
responsables de l'àKGB.
Sophie
n'en revient pas, à croire qu'elle a vu la
vierge en ma personne, ce qui est un rien prétentieux...
Elle qui me trouvait chiante il y a une heure
s'inquiète maintenant sur ma santé mentale.
Emma,
lundi 4 février 2002
A
suivre,
Le sens de
l'éthique de Paul Satis...
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