Le
Courrier des lecteurs
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Droit
de réponse de la Régie Rosier-Modica
A
la suite du courrier des lecteurs intitulé
« Comment je me retrouve à la rue »,
(voir page suivante) nous avons reçu de la Régie
Rosier Modica, les précisions suivantes :
« Nous
avons pris connaissance de l'e-mail de Melle
Isabelle Laval et souhaitons réagir afin de rétablir
quelque peu la vérité.
Mademoiselle
Laval a réservé le 15 octobre 2001, par
l'intermédiaire de notre filiale la S.L.T.I.,
un F1 situé 44 rue de l'Université à LYON 7e,
appartement disponible le 30/11/2001 conformément
à la dédite de Mme S. (actuelle locataire)
adressée à la Régie le 3 Août 2001.
Rendez-vous
a été pris pour la signature du bail le
29/11/2001 à 17 h, dans l'attente du
rendez-vous de l'Etat des Lieux. Le 29
novembre au matin, nous avons appelé Melle
Laval afin de l'informer du contretemps dans
le déroulement des opérations relatives à la
location de l'appartement ; en effet, la
locataire sortante venait de nous informer de
son impossibilité de quitter les lieux pour le
30 novembre et demandait un report d'échéance.
Ce
phénomène, très exceptionnel, ne peut se régler
qu'amiablement ou devant les Tribunaux avec
les délais que cela suppose. N'étant
pas sûrs du départ de Mme S . courant décembre,
nous avons proposé à Melle Laval un F2 situé
dans le même immeuble, en cours de rénovation,
et disponible courant décembre. Avec la
promesse d'un geste commercial au titre de nos
honoraires, afin de compenser ce désagrément.
Melle
Laval n'a pas accepté mais par contre, nous
avons tout mis en uvre pour lui trouver un
autre logement, chose qui a été faite puisque
notre filiale S.L.T.I. l'a relogée
dans le 1er arrondissement, dans un
F1 refait à neuf, avec un loyer charges
comprises inférieur à celui de la rue de
l'Université.
Comme
vous pourrez le constater, nous ne sommes pas
les monstres d'indifférence décrits dans le
courrier de Melle Laval, vraisemblablement sous
l'effet de la déception, -ce que nous pouvons
fort bien comprendre. Face
à une situation insoluble pour les deux
parties, il n'est pas question de « certaines
pratiques », ni de « non-respect des
engagements »... Aurions-nous dû mettre
dehors, au mépris de la Loi, la locataire
actuelle ?
Néanmoins,
nous ne pouvons accepter que soit mise en cause
notre Régie, où ce type d'incident est
rarissime. Parmi notre parc de 3000 locataires,
le cas de Melle Laval reste une très
regrettable exception, n'autorisant aucune généralisation. »
Martine
Bourguignon, Responsable Gestion, le 10 janvier
2002
A
suivre,
Comment
je me retrouve à la rue !
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