Le
Courrier des lecteurs
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Droit de
réponse du Charle's Inn
Suite à la
chronique consacrée au Charle's Inn, nous avons
reçu de sa gérante le courrier suivant. Nous le
reproduisons in extenso.
« Le Charle's Inn réouvert et prêt à vous
accueillir dans une ambiance feutrée et
conviviale
Suite à votre article, je tiens à expliquer et
faire taire certaines rumeurs concernant ma
gérance au Charle's Inn. Etant nouvelle dans le
métier, j'ai tout d'abord voulu mettre en place
ma politique de travail avant d'avertir les
médias, afin de présenter le Charle's Inn sous
son meilleur jour. Ma première préoccupation
était de rendre le pub le plus accueillant
possible et non de m'attarder aux diverses
rumeurs présentes depuis plusieurs mois et qui
s'avèrent le plus souvent erronées... Je ne suis
pas là pour nourrir des ragots mais pour faire
un travail optimum dans un bar que j'affectionne
particulièrement.
J'ai pris cette gérance en toute connaissance
des choses, et je l'ai fait par envie de
changement au niveau professionnel et que cette
possibilité s'est offerte à moi.
Certes je connais toute l'affaire « Barthod » et
j'ai ma propre opinion dessus. Cette histoire
n'a en rien avoir avec le pub en lui-même, et il
serait temps de faire la part des choses à ce
sujet...
Didier Dantzikian a commis une erreur dans cette
affaire, qu'il reconnaît depuis le début, et il
en paie aujourd'hui de lourdes conséquences. La
justice a fait son travail et personne ne peut
plus en juger maintenant.
Je tiens aujourd'hui à rétablir la vérité sur
toute cette histoire qui commence à porter
préjudice à mon établissement.
De plus, je tiens à annoncer moi-même que je
connais depuis longtemps Didier Dantzikian,
étant depuis plus de trois ans sa fiancée, je
vous annonce en exclusivité que nous célébrons
notre mariage le 17 juin 2004, et qu'une fête
sera organisée ce jour où toutes les personnes
pourront se joindre au bar et trinquer à notre
santé. »
Sophie Montagnier,
Gérante du Charle's Inn
50, rue Mercière - 69002 Lyon
Lyon, le 27/05/2004
A
suivre, Droit de réponse d'Isabelle Kébé
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