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13 octobre 2003


GPTL 2003
Vendredi 10 octobre
 


 

« Ferons-nous aussi bien qu’hier ? » : telle est la question que l’on se pose du côté de l’organisation. Marie Roussille a la banane : « Jeudi, on a battu tous les records d’affluence depuis la création du tournoi ! » confie-t-elle, gourmande, à sa sœur. Souhaitons que le prochain Super Cross connaisse le même sort ! Pierre Meunier s’y emploie d’arrache pied. « D’autant que les VIP connaissent bien les lieux ! » s’amuse le frère de Claire qui donne rendez-vous aux amateurs de sensations fortes les 28 et 29 novembre sous le dôme du Palais des sports.

 

La joie des retrouvailles au 69 ! L’hebdo gratuit de petites annonces domine insolemment son sujet et son marché. Dans ces conditions, on ne change pas une équipe qui gagne ! Pierre Foureix l’a bien compris… Et c’est en toute logique que nous le retrouvons sur son espace entouré des baronnes de ces lieux - Béatrice, Marie-Pierre et Isabelle - et des plus jolies mamans de la ville : Annie, Valérie, Florence, Patoche et bien sûr Catherine à qui je glissais (sans succès) des billets doux pendant les réunions commerciales  ! Toutes affichent plus de 15 ans d’ancienneté au compteur ! Du côté des beaux gosses, Cyril Meaudre roule les mécaniques auprès d’un jeune bleu tout frais  émoulu de l’Idrac. La très select école de commerce de Denis de Bénazé fournit depuis des lustres un fort contingent de jeunes diplômés (dont votre humble serviteur) à la Comareg. Cette même Comareg qui vit actuellement une « transition délicate » (je n’ai jamais été aussi soft…) après son rachat par le groupe Hersant. Mais nous aurons l’occasion d’en parler plus longuement dans une prochaine édition. Pour l’instant, « wait and see ! »



 

A la table de Xavier Bourit, chez Moet, Nico (Lyonpeople) déjeune en compagnie d’un Patrick Deschamps très affable. Le patron de Lyon Poche est de retour sur le terrain et ça lui réussit plutôt bien ! Difficile de tenir sa ligne pendant la semaine du GPTL ! Une gageure pour Christophe Breton qui festoie en compagnie de Pierre Laigle et de Franck Gava à la table de Thierry Braillard (ci-dessus). A la Région, Jean-Loup Fleuret dîne sans complexe avec Robert Batailly, « le phacochère » d’André Soulier (voir interrogatoire). Non loin de là, Jocelyn Garabedian promène sa princesse, la douce Marie, et Denis Bodhuin, le roi de la Part Dieu (ci-dessous). Olivier Chatard, plus dandy que jamais, annonce qu’il fait ses adieux au GPTL, avant de gagner l’Australie pour trois semaines de Coupe du monde de Rugby. Il y en a qui n’ont pas des métiers faciles…



 

Dans les allées du village, Laurent Argelier, micro en mains, joue les chroniqueurs pour Lyon Sport. Le patron du Trans Europ Express persévère dans sa quête médiatique : il vient de participer au casting de Pink TV et prépare les 10 ans de sa discothèque-karaoké du cours d’Herbouville. Vers l’atrium, Philippe Moncorgé, le peintre officiel du GPTL est cornaqué par Xavier de Varax et Emmanuel Pérouse (qui a fondu comme neige au soleil). Avec de tels parrains, nul doute que l’on retrouvera bientôt ses toiles aux murs des plus beaux appartements d’Ainay et des Brotteaux. Et dans cinquante ans (si Dieu leur prête vie), elles seront dispersées sous les coups de marteau de Maître Conan fille, cela s’entend ! Chez Apicil, on joue au rubis cube avec le nouveau logo de la maison, mais on en oublie pas pour autant les grandes causes de l’entreprise : Nathalie Gateau a accueilli tout au long de la semaine les athlètes Handisport dont  Christophe Durand et Romain Riboud, champions olympiques. Respect !



 

L’un des points de rendez-vous les plus prisés du village est le bar central. La pêche à la ligne est l’attraction le plus prisée des lieux (n'est pas Olivier ?) On y croise les plus belles filles de la ville Marie-Pierre M, Béatrice P, Véronique D, Marie-Aude B, Brigitte R, Sophie J, Marilyne C, Stéphanie L, Marie R, Elodie Y, Anne F, Laure-Marine G, Audrey A, Johanne de B, Catherine R... Autour d’elles, ces messieurs font assaut de bons mots et de galanterie (ce qui fait les affaires du barman !) Tous ont en tête ce bon mot de Victor Hugo : « Je pense des femmes comme Vauban, des citadelles… Toutes sont faites pour être prises. Toute la question est dans le nombre de jours de siège ! »

 

Résultat du concours, la semaine prochaine dans LyonPeople !


Dans les allées du village…

 

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Le café réchauffé c'est terminé !

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