GPTL 2003
Samedi 11 octobre
Quand
vous croisez
Andrée Michon, Miss Lyon n’est jamais loin. Et toc ! Stéphanie Augris
pointe sa jolie frimousse au village. La demoiselle attaque la dernière ligne
droite avant l’élection Miss France 2003 le 13 décembre prochain à Deauville.
Une compétition serrée qui se prépare dès le 13 novembre avec une mise au vert
(?) en Tunisie. Si les Fontenay avaient choisi le Maroc nul doute que
notre candidate aurait rencontré Philippe Vorburger
(ci-dessus).
Le directeur d’OL Média, plus show-biz que jamais, rentre tout juste de
Marrakech où il était l’hôte du Festival du Film.
Placé à la droite de
Joëlle Mercier, Jean-Michel Dubernard (Max pour les intimes)
est l’invité d’honneur de la table du Président Mercier sur l’espace du
Conseil Général
(ci-dessus). Quand
l’UMP sympathise avec l’UDF, c’est que les échéances ne sont pas loin. Entre
deux avions, Georges Fenech a trouvé quelques instants pour venir se
montrer au GPTL en compagnie de son épouse. Le député de Givors s’envole fin
octobre en compagnie d’Elie Wiesel et de Simone Veil pour une
tournée de 5 jours au Proche Orient avant un passage éclair en Tunisie au bras
d’Alain Juppé. Plus placide, François-Noël Buffet est scotché à
son téléphone : est-il en train de négocier sa démission de la vice-présidence
du Grand Lyon avec Dominique Perben (voir Lyon Capitale du 8/10),
mystère ! Loin de toute cette agitation, Caroline Collomb est venue
assister à la demi-finale accompagnée de deux amies. Notre first lady effectue
une petite reconnaissance avant la finale de dimanche où elle est attendue, au
bras de Gégé, sur l’espace du Progrès.
Arrivée remarquée du
couple Malher tout de cuir vêtu (ce n’est pas une blague !) pour déjeuner
sur le stand de la Banque Rhône-Alpes. Du jamais vu chez les banquiers,
même si l’on a noté un léger fléchissement dans le tenue vestimentaire très
stricte des golden boys. A l’image de Rémy Weber, le président de la
Lyonnaise de Banque, qui a fait tomber la cravate à l’issue du déjeuner !
Très décontracté lui aussi mais moins trublion que d’habitude Edgar Grospiron
fait les yeux doux à Marie Rigaud. Séduire la directrice du Festival de
Pérouges est un exercice fort acrobatique…
Quant à nous, c’est
l’heure de notre pause déjeuner en compagnie de Jean-Paul Pignol et de
Gisèle Lombard
(ci-dessus en compagnie de JC Caro)
Le chef est tout heureux d’afficher 21 000 couverts servis en l’espace de 7
jours, ce qui fait du GPTL la seconde manifestation tennistique après Rolland
Garros (mais avant Bercy !). De son côté, notre consœur du Progrès aligne
20 ans de fidélité au quotidien lyonnais et n’a toujours pas basculé dans la
coke depuis qu’elle fait dans le people. Et pourtant ça n’a pas été une mince
affaire d’imposer ce nouveau style à la vénérable institution qui relooke sa
maquette et change de formule en 2004.
Béatrice Denis
(Les Négos) promène sa jolie silhouette dans les allées du village. Une jeune
grand-mère stringuée, on ne voit pas ça tous les jours… Tout émoustillé,
Daniel Perez en a oublié de rendre ses chaussures de bowling
(ci-dessus)..
Mais assorties à son côtelé noir, c’est très tendance… Jean-Claude Caro
distribue une poignée d’argent de poche à ses garnements avant de gagner l’espace Moet.
Tout ce beau monde se hâte –une fois n’est pas coutume – d’engloutir les
derniers délices de Pierre Orsi. En effet les demi finales vont commencer
et le palais des Sports est archi comble pour assister à la victoire d’Arnaud
Clément. Après les bulles, au tour des balles de reprendre l’avantage !
Dans les allées du village…
page suivante
|