GPTL 2003
Mardi 7
octobre
Chez Lavazza,
Pierre Sermet a les mains toutes engourdies à force de faire cracher la
machine à café. Après les excès (?) de la veille, le petit noir est de rigueur.
La soirée d’ouverture des Mille et Une nuit qui a enflammé le GPTL est
évidemment dans toutes les bouches. Surtout dans celles de ceux qui n’y étaient
pas… mais qui vous glissent, sous le sceau du secret, des anecdotes
croustillantes mais que la morale nous empêche de vous restituer… Au bar
d’ambiance, c’est le calme après la tempête ! Tout en sirotant un Perrier,
Jean-Paul Donjon s’interroge sur les futures aventures d’Olivier
Farissier mais refuse de nous dévoiler le nombre de magnums de champagne
écoulé dans la nuit… Fort heureusement, chez Moet, ils sont plus
bavards !
Côté people, c’est
Sidney Govou qui tenait le vedette et le crachoir chez Scoop. Aperçus
également Christian Lavieille et Yvan Muller sur l’espace DS
Avocats. A l’heure du thé, nous nous prenons à rêver en compagnie de
Béryl Maillard (Société Sportive du Rhône) et de Bruno Gerbex (PMU)
d’un « Grand Prix de l’arc de Triomphe » à la lyonnaise. Un évènement hippique
élégant qui trouverait toute sa place dans le cadre du projet « carré de soie »
et qui devrait ravir Olivier de Seyssel, le très affable président
gentleman farmer de l’Hippodrome de Villeurbanne. Sur le stand de
la Banque Rhône-Alpes, Gilles Goldberg soigne particulièrement Didier
Rinck, jeune retraité de la restauration. Les millions de la Brasserie
Georges sont en de bonnes mains ! Non loin de là, le petit monde de
l’édition évoque à mots couverts le juteux transfert de Alain Milliat des
Petites Affiches au Tout Lyon. Même JMA n’y a vu que du
feu !
« Bernard déprime ! » : c’est la nouvelle joke qui circule
au Village. Le Bernard en question n’est autre que la souriante armoire à glace
qui, six années durant, fut en charge de la fameuse porte du Village en
compagnie de son fils. Le gardien du temple s’est transformé en ange-gardien des
joueurs. Muté sur le court central, il doit veiller à ce que personne ne tente
de réitérer le mauvais coup de Monica Seles. Un changement d’affectation
peu au goût de ses aficionados qui parlent de faire circuler une pétition pour
faire pression sur la direction du tournoi. Chez cette dernière, tout le monde
se renvoie la balle (ils ne travaillent pas au tennis pour rien !) Espérons
qu’après cette année de purgatoire, nous aurons le plaisir de retrouver dès l’an
prochain sa mine patibulaire (mais presque), son crâne poli et sa fameuse
barbichette en lieu et place habituels…
Le monde de la nuit a table ouverte chez Moet, toutes générations
confondues. Michel (l’Alibi) côtoie Florian, ancien responsable de
l’Adresse et toujours à la recherche d’une nouvelle ainsi que Jérôme
Auclair qui effectue son grand retour à Lyon où il a rejoint ses deux ports
d’attache : le Bus Café (il a la charge d’animer le bar du fond) et la
ravissante May. Mais chez l’un comme chez l’autre, ce n’est plus lui le
patron ! L’ancien associé de Michel Dantzékian au Central Paul Café
devrait voler dès l’an prochain de ses propres ailes.
Invitée par le 69, Martine Yanni est en goguette. Miss Fidélio
s’amuse des cravates arborées par certains. Celle de Xavier Bourit par
exemple : « Je m’en fous, c’est mon ex-beau-frère qui me l’a offerte ! »
s’esclaffe le directeur régional de Moet ! Même son de cloche chez
Christian Bonnefond (ci-dessus), plus représentant de commerce 70’s que
jamais : « C’est ma femme qui m’habille ! » rétorque l’ancien adjoint aux
sports tout en taillant la bavette avec le nouveau. Sur ces entre faits,
Michel Pakoglou alias Marathon man effectue une entrée remarquée sur le
stand Chirat au moment où Jérôme Jorcin (Les Enfants terribles)
déclame qu’il abandonne la politique mais pas le cigare. Pas sûr que ce soit
vraiment le bon choix, question santé ! Pour la mienne, en tous cas, il est
grand temps d’aller me coucher !
Dans les allées du village… cliquez ici
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